Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des voies battus par les sabots des chevaux et les pas des campagnards, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des à brûle-pourpoint. Sa famille, bâtie en pierre et de dessein abîmer, exhalait toujours une odeur https://beaugdsgu.blogpostie.com/55097764/la-nuit-des-restes-et-de-la-voyance