La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son activité professionnelle dans l’ombre tamisée de son atelier. Son travail à exagérer, fidèle animal de ses voyances silencieuses, laissait varier des fils d’or et de soie entre ses doigt. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, tels que https://donovanzmubg.blogadvize.com/41258936/les-fils-du-destin