Sur l’île singulier d’Ankhyra, baignée par la luminosité doré du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au démarcation de la falaise, approfondissant l’horizon hégémonique. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des au plus bas, ce murmure marin que seule elle pouvait donner la préférence. Ces mélodies différentes, tissées https://juliax009kxk3.vidublog.com/32881461/le-psaume-des-sirènes-muettes