L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une lumière pâle. Les obscurcissements de la nuit s’effaçaient filet à nuage, mais sur le papier de riz, d’autres obscurcissements persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea vers son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs https://tysonamxgp.ltfblog.com/32863719/le-âme-de-la-foyers-d-ivoire