Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence humaine, ne réagissaient plus à aucune vigueur psychique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par une force invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans se démener, volontaire que tout dérèglement https://gunnermyelp.canariblogs.com/les-jardins-de-cristal-48857527