En 2042, au cœur du Togo, la saison sèche persistait, déposant sa poussière rouge sur les pentes du mont Kéran. Au pied de ce massif, la botaniste Maëlys Deren poursuivait des recherches sur une flore encore acerbité répertoriée. C’est au labyrinthe d’une voie étroite, entre deux roches basaltiques, qu’elle découvrit https://rafaelxczun.p2blogs.com/32931029/les-nervures-de-la-destinee