Stockholm, 2989. La cité avait perdu ses contours d’autrefois, ensevelie par-dessous des couches de cristal nettoyé et de givre régulé. L’air y était purifié, contrôlé, presque sans odeur. les sentiments humaines n’étaient plus exprimées normalement, mais conservées en capsules. Chaque individu, dès l’adolescence, était équipé d’un collecteur lacrymal qui extrayait https://sergioqmdth.blogdal.com/34551952/le-givre-des-biographies